Simon Landry-Désy

Depuis sa sortie du Collège Lionel-Groulx en interprétation en 2014, Simon cumule les expériences de jeu au théâtre, à la télévision et au cinéma et s’intéresse particulièrement aux processus de travail collaboratifs.

Sur les planches, pour ne nommer que celles-là, il était de la distribution des pièces La nuit du 4 au 5 (M.E.S. Claude Poissant), The rise of the bling bling (M.E.S. Philippe Boutin), La Société des poètes disparus (M.E.S. Sébastien David), Je cherche une maison qui vous ressemble (M.E.S. Benoît Vermeulen), Manipuler avec soin (M.E.S. Pascale Renaud-Hébert), Si jamais vous nous écoutez (M.E.S. Laurence Dauphinais et Maxime Carbonneau), Le roi danse (M.E.S. Michel-Maxime Legault), Jamais, toujours, parfois (M.E.S. Brigitte Poupart) et Une fin (M.E.S. Laurence Dauphinais et Patrice Dubois).

2015 est marquée par ses débuts au grand écran, où on peut le voir dans Les êtres chers, d’Anne Émond. Il se retrouve depuis au générique de nombreux courts et longs métrages, dont les films de Jean-Martin Gagnon (Puisqu’on se tue toujours trop tard, Planter, Pharmakon), Guillaume Collin (Moi sans toi), Robert Morin (Le Problème d’infiltration) et Guillaume Harvey (En attendant Pascal). Il est également un fidèle allié des réalisateurs Renaud Lessard et Jonathan Beaulieu-Cyr, avec qui il collabore pour la série web Coeur d’or et les courts métrages Pisser dehors, Pluie sur tôle volée et Ferraille, film pour lequel il fut nominé comme Meilleur acteur au Gala Prends ça court des RVQC 2016. En 2023, il incarne Carl Lavoie dans le film de Raymond St-Jean Crépuscule pour un tueur. Nous le verrons prochainement dans le prochain film de Chloé Cinq-Mars, Peau à Peau.

Aussi, au petit écran, on a pu le voir dans la quotidienne STAT, L’air d’aller 1-2 et Aller simple 2.