Quel est le défi lancé aux étudiant·e·s avec Le Scriptarium 2025 ? Qu’est-ce qui ressort de cette parole adolescente cette année ?

Ce qui est drôle, c’est qu’on avait envisagé quelque chose d’hétéroclite, mais finalement le spectacle ne l’est pas tant que ça ! Les styles étaient très faciles à agencer et les sujets se recoupaient beaucoup. Ce qui ressort en général, ce sont les thématiques liées à l’identité. Qui suis-je dans ce monde ? Qui suis-je par rapport à mes amis, à ma famille ? Qui suis-je par rapport à qui je veux être vraiment ? L’identité culturelle aussi ; qui suis-je ici alors que je viens d’un autre pays ou que mes parents viennent d’un autre pays ? Le besoin de s’affirmer dans cette quête d’identité était très présent dans les textes.

Le collage des textes fait par Pascale St-Onge et ta mise en scène se sont entremêlés. Comment s’est déroulé le processus de création ?

Peux-tu nous parler des trames respectives des personnages? Et du contexte dans lequel iels s’inscrivent ?

Quel est l’impact d’un projet comme Le Scriptarium sur les jeunes qui y participent et sur le public ?

Et ce que je trouve magnifique aussi c’est de voir l’engagement de l’équipe d’interprètes et de concepteur·rice·s qui se mettent au service de ce projet pour les jeunes. On est tous touchés par la mission essentielle du Scriptarium. On se replonge dans les questionnements et la fougue de l’adolescence et on crée ce spectacle avec tout notre cœur.